Sommaire de Charroux Allier

Le fossé de défense médiéval de la ville ancienne changé en square de banlieue, ou comment ravager un des plus beaux villages de France

Ce ne sont pas les services du patrimoine qui s'émeuvent, et les quotidiens du coin ou la TV régionale non plus. Non, c'est un hebdomadaire confidentiel, fondé en 1944 par la résistance catholique à Moulins, l'Aurore du Bourbonnais, qui, le 1er juin 2012, s'est saisi – sous le titre « Charroux ou le castrum devenu ville franche, vu du ciel » – de l'affaire qui pourtant a de quoi émouvoir.

De quoi s'agit-il ?

Dans le profond Bourbonnais, il y a un petit village de 300 habitants qui ne s'appelle pas Petitbonum, mais Charroux, et ce village possède un patrimoine exceptionnel d'ancienne ville qui a ému autrefois l'équipe des journalistes et chercheurs français que Reader's Digest/Sélection avait réunis au début des années 1970 pour présenter les plus beaux villages de France. L'ouvrage du même titre parut en 1977 et fut à l'origine de la création d'une association qui existe toujours et qui s'appelle Les plus beaux villages de France.

Comme Charroux y figure sur deux pages avec deux photos, l'agglomération devint membre de l'association. Mais malheureusement ni cette association, ni les services de protection du patrimoine, ni la municipalité ne semblent avoir jamais pris le temps de lire ce que l'équipe de l'époque avait écrit à son sujet. A savoir que malgré le peu d'habitants qui peuplaient l'agglomération en ruines, cette dernière était en réalité une grande ville ancienne, entourée de murailles, et qu'il faudrait la conserver et restaurer scrupuleusement d'après les critères de sauvegarde du patrimoine qui s'imposent.

A quel point on a respecté ces exhortations, on peut le déduire du fait que les deux photos qui présentent Charroux dans l'ouvrage de 1977 ne sont plus possibles de nos jours car une partie des bâtiments médiévaux qui figurent sur les photos a été démolie depuis. Et ils ne sont pas les seuls. Car bien que trois bâtiments de l'agglomération, l'église fortifiée Saint-Jean-Baptiste et deux portes de ville, soient classés monuments historiques ou inscrits à l'inventaire (et avec cela tout le périmètre de la ville), et bien que la ville se soit dotée en 1982 d'un musée de l'histoire de la ville qui témoigne de l'ancienne grandeur et essaie de conserver le passé et de le présenter aux touristes, la démolition et les ravages continuent, n'épargnant ni maisons, ni murailles, ni structure urbaine.

Or incrédules par rapport à ce que nous avons dû lire et voir dans l'Aurore du Bourbonnais, nous nous sommes rendus sur place lors de notre dernier séjour dans l'Allier, avons visité la ville et le musée en question, créé et installé depuis 1975 par un professeur universitaire berlinois, aujourd'hui à la retraite à Charroux, aidé par sa femme et des amis de Charroux, et nous nous sommes procuré d'une part la documentation (éditée entre autres par le professeur en question et en vente au musée), et d'autre part les photographies aériennes et autres dont l'Aurore du Boubonnais reproduit quelques unes et dont elle met la totalité à la disposition des services de protection du patrimoine qui apparemment ne connaissent ni l'histoire ni le patrimoine de Charroux. Résultat : nous sommes malheureusement d'autant plus convaincus de la véracité de l'article cité ci-dessus que les photographies – surtout les aériennes, faites par un conseiller municipal en 2010 – la montrent et prouvent. Laissons donc la parole aux photos.

Charroux était – comme l'avait déjà dit le grand spécialiste ès matières Lucien Fanaud en 1960 – un castrum gallo-romain de la forme rectangulaire la plus classique possible (à consulter sur l'encyclopédie Wikipédia) avec son praetorium (le siège du chef et de l'administration) et ses quatre portes :

Or Charroux n'avait pas seulement cette structure, elle en avait même le nom (quadrivium = carrefour/le croisement de chemins orientés vers les 4 horizons), et – qui plus est – elle a gardé aussi bien le nom que la structure (rectangulaire) ... inchangée jusqu'à nos jours comme le montre la photo suivante :

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications L'ensemble de Charroux d'Allier, vu de l'ouest L'ensemble de Charroux d'Allier, vu de l'ouest.

Or comme on peut le lire dans tous les manuels d'histoire, au temps des invasions dites barbares du 4e au 6e siècle (Wisigoths, Vandales, Huns et surtout Francs), les habitants des castra se sont réfugiés à l'intérieur de leurs agglomérations derrière des défenses circulaires, tracées et érigées à travers et à l'intérieur des structures rectangulaires des camps romains.

A Charroux, il y a eu trois de ces défenses encore visibles à l'œil nu pour celui qui veut voir, et elles peuvent toujours être admirées – tout comme l'ensemble des structures rectangulaires et circulaires - sur le plan cadastral de nos jours car... inchangées.

Limitons nous ici à la structure de la défense circulaire intérieure qui a cela de particulier qu'elle est traversée encore de nos jours et sans altération par les structures rectangulaire du castrum gallo-romain. Car si – comme le prétendent quelques affabulateurs – Charroux avait d'abord été une construction autour d'une « motte » (une colline artificielle sur laquelle on aurait érigée un « fort »), l'agglomération à ses pieds se serait développée en étoile (outre que dans le cas de Charroux, la « motte » aurait été aplanie sans qu'on sache pourquoi). Bref : il n'y aurait pas de structures rectangulaires à l'intérieur de la fortification arrondie de Charroux au centre de laquelle on a construit une fortification arrondie genre citadelle. Voici donc les photos aériennes faites en 2010 qui le montrent :

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications Le centre fortifié de Charroux, protégé par une muraille et un fossé de défense circulaires munis de quatre portes de villes... Le centre fortifié de Charroux, protégé par une muraille et un fossé de défense circulaires munis de quatre portes de villes dont deux subsistent encore (la Porte d'Orient à gauche en bas et la Porte d'Occident en haut, à droite), tracé et construit à l'intérieur de la structure rectangulaire du castrum.

Comme on peut le voir, les structures de la défense médiévale circulaire sont aussi parfaitement lisibles que les structures rectangulaires du castrum qui traversent – sous forme de rues – la structure circulaire de la fortification médiévale (ce qui prouve qu'elles sont antérieures). Au centre le bâtiment de fortification arrondie ou la Citadelle, appelée « la Cour des Dames ».

En haut (au sud), l'église fortifiée Saint-Jean-Baptiste.

Certains bâtiments (granges, débarras) – aujourd'hui en grande partie en ruine – ont été construits dans le fossé de défense depuis la fin de sa fonction de protection après le 17e siècle. A gauche (à l'est), les deux bâtiments construits en travers du fossé de défense, sont de date plus récente. Celui d'en haut, une halle du marché, a été construite en 1821. L'autre, au milieu, la « salle des fêtes » construite en 2003.

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications La défense circulaire vue de l'est... La défense circulaire vue de l'est avec (en partant de droite) la première porte de ville conservée, dite d'Orient. A sa gauche, la maison de résidence du lieutenant du seigneur du Bourbonnais, dite la Maison de Condé, ainsi que des bâtiments de fortifications sis au-dessus du fossé, dont un muni d'une tour de défense, tous restaurés et transformés en musée.
A gauche une tour de la défense circulaire, dite la Tour du Guet ou de la Prison.
Au-dessus de cette tour, l'église fortifiée Saint-Jean-Baptiste.
Au-dessus de l'église, la seconde porte de ville conservée, dite d'Occident.
En bas et au centre de la photo entre les bâtiments de la fortification/du musée : la salle des fêtes, construite en 2003 en travers du fossé médiéval de défense, bouchant la vue sur le panorama de la ville.

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications La salle des fêtes construite en 2003 La salle des fêtes construite en 2003 en travers du fossé de la défense médiévale intérieure. L'espace dans le fossé de défense à gauche de la salle des fêtes sert d'accès pour le public et pour des repas en plein air lors des fêtes. L'espace à droite de la salle des fêtes sert de parking pour camions de livraisons et voitures privées les jours de fête ainsi que d'emplacement pour des bennes à ordures et des bouteilles à gaz pour alimenter la salle des fêtes.

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications Détail de la même photo: la partie du fossé de défense Détail de la même photo : la partie du fossé de défense devant la Porte d'Orient, la Maison de Condé et l'un des bâtiments de la fortification/musée, transformée en parking et dépôt d'ordures pour la salle des fêtes (à gauche), construite en 2003.

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications Le fossé de défense médiéval devant la fortification
Le fossé de défense médiéval devant la fortification et la Porte d'Orient un jour de fête. A gauche : des bouteilles à gaz, fixées au mur de la nouvelle salle des fêtes, les bennes à ordures se trouvant à droite ou (sur cette photo : derrière les tableaux accrochés à la grille) à gauche du portail donnant accès à ce parking dans le fossé médiéval de défense.

La salle des fêtes a remplacé, en 2003, une banale grange, construite par un agriculteur en travers du fossé de défense vers 1900. Après la Seconde Guerre mondiale, les habitants de Charroux avaient commencé à s'en servir comme salle des fêtes improvisée. Mais quand, dans les années 1990, le conseil municipal – suivant la mode du moment et l'exemple des communes avoisinantes - commença à songer à se doter d'une « véritable » salle des fêtes, plusieurs habitants suggérèrent d'en construire une en dehors du village où la commune possédait et possède toujours de vastes terrains communaux afin d'éviter des nuisances nocturnes au centre de l'agglomération. Et il est vrai qu'une construction – dans le voisinage du cimetière par exemple – n'aurait causé aucune nuisance, et en plus, il y aurait eu suffisamment de place pour créer des parkings. Mais malgré les réticences et avec l'approbation de l'architecte des bâtiments de France, le conseil municipal décida de transformer l'ancienne grange en travers du fossé de défense en doublant son volume. La raison avancée pour cette décision : une salle des fêtes dans les champs devant les murs de la ville serait trop éloignée pour les habitants de Charroux, et il est vrai que le cimetière, entouré de terrains communaux, se trouve à quelque... 300 mètres de l'agglomération, distance idéale pour y construire la salle des fêtes. On fit le contraire, transformant une bonne partie du fossé de défense en parking pour les camions de livraison ou des pompiers, voire pour les voitures des fêtards, et en emplacement pour d'immenses bennes à ordures et autres bouteilles à gaz pour alimenter les cuisines créées à l'intérieur de la grange transformée en salle des fêtes qui – en plus – bouche la vue sur le panorama absolument unique dans le Bourbonnais du centre fortifié de l'ancienne ville de Charroux. Au touriste qui arrive par l'entrée du village vers laquelle la signalétique l'oriente pour y garer sa voiture sur le parking créé à l'emplacement d'un couvent médiéval rasé vers 1960, et qui déambule le long de la fortification, se présente la vue suivante :

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications Vue du fossé de défense devant la fortification Vue du fossé de défense devant la fortification telle qu'elle se présente au visiteur venant du parking à l'entrée de l'ancienne ville : la construction de la salle des fêtes en travers du fossé rend la vue sur la continuation de la fortification (bâtiment de défense avec tour de défense, résidence du représentant du Prince de Condé et porte de ville dite Porte d'Orient impossible.

La critique qu'avait malgré tout provoquée cette défiguration/destruction du fossé de la défense intérieure de l'ancienne ville de Charroux ne semble pas avoir intéressé et (encore moins) impressionné les services de la protection du patrimoine car en 2011, ils ont donné leur accord pour la continuation de ce travail de destruction de la structure de la ville médiévale de Charroux et en particulier du fossé de défense. Mais cette fois-là, la désinvolture est encore plus grave parce qu'elle concerne directement un bâtiment classé monument historique et partant protégé par la loi : l'église fortifiée Saint-Jean-Baptiste dont le mur sud était partie intégrante de la fortification elle-même ce qui veut dire que le fossé de défense passant le long de ce mur fait logiquement partie du monument classé lui-même.

Pour avoir une idée précise retournons encore une fois à la photographie précédente et regardons ce détail :

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications Suite du fossé médiéval de défense circulaire côté sud Suite du fossé médiéval de défense circulaire côté sud. En bas la tour de défense dite du Guet ou de la Prison avec des restes de la muraille de la défense intérieure. Au-dessus de la Tour du Guet : l'église fortifiée Saint-Jean-Baptiste, classée monument historique. En haut la porte de ville dite d'Occident, inscrite à l'inventaire. Le fossé de défense qui fait le tour du centre de la ville passe aux pieds de la Tour du Guet, de l'église, rejoint la Porte d'Occident et continue par la suite à droite de la porte (vers le nord) comme le montre la photo suivante :

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications Le centre fortifié avec sa défense circulaire vu de l'ouest Le centre fortifié avec sa défense circulaire vu de l'ouest avec à droite, en haut, la Tour du Guet, en dessous l'église fortifiée Saint-Jean-Baptiste, et encore plus bas : la Porte d'Occident. Le fossé de défense continue à gauche de la Porte d'Occident, fait le tour et remonte à la Porte d'Orient (en haut à gauche). Au centre : la Citadelle, et le tout traversé par des rues orthogonales.

Regardons maintenant de plus près le lieu du désastre, commis au début 2012 :

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications Le centre fortifié de Charroux d'Allier vu du sud Le centre fortifié de Charroux d'Allier vu du sud avec à droite, en haut, la Porte d'Orient, en-dessous la salle des fêtes en travers du fossé, et en bas la Tour du Guet. En bas, au centre, l'église fortifiée Saint-Jean-Baptiste, et à gauche : la Porte d'Occident.

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications Détail de la photo précédente Détail de la photo précédente, faite en 2010, montrant de plus près les vestiges de la fortification avec, à droite, la Tour du Guet et, à gauche l'église fortifiée Saint-Jean-Baptiste, classée monument historique. Entre les deux, les restes de la muraille et, à leurs pieds, le fossé de défense.

Municipalité et services de protection du patrimoine ont décidé de réaménager l'espace devant l'église ce qui fut une excellente idée. Car cet espace était et est toujours la partie du fossé médiéval de la défense au pied du mur sud de l'église fortifiée, faisant par conséquent partie du bâtiment classé. Or cette partie du fossé de défense avait été remblayée à la fin du 18e-au début du 19e siècle avec des gravats pour créer ainsi un « parking » de l'époque pour des chars à bœufs ou des charrettes tirées par des chevaux. Dans les années 1960/70, la municipalité y avait installé un terrain de jeu de boules.

Comme ce terrain de jeux de boules ou pétanque n'était guère plus utilisé, l'idée d'une rénovation du terrain était donc excellente car la rénovation d'un fossé de défense d'une église fortifiée, classée monument historique, aurait été un atout pour le tourisme culturel de cette agglomération autrefois castrum et ville et aujourd'hui membre de l'Association des plus beaux villages de France. Bref et logiquement, il fallait rabaisser le niveau du terrain de boules pour rejoindre celui du fossé de défense médiéval ce qui était d'autant plus facile que là où s'arrêtait le jeu de boules, vers la Tour du Guet, le fossé de défense n'avait pas été remblayé. Il s'agissait donc de rejoindre le niveau devant la Tour du Guet que voici :

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications L'ensemble de Charroux d'Allier, vu de l'ouest

Mais au lieu d'abaisser le niveau du terrain de jeu de boules et de déblayer le fossé de défense au pied de l'église fortifiée, classée monument historique, on ne l'a pas seulement laissé remblayé, mais malgré des tranchées profondes creusées sans présence des services archéologiques qui aurait pu et dû contrôler les gravats, on a rendu ce remblayage éternel par une couche de béton, transformant pour des centaines d'années le fossé de défense de Charroux en square de banlieue. Les travaux furent terminés peu après le 1er avril :

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications L'église fortifiée Saint-Jean-Baptiste de Charroux d'Allier L'église fortifiée Saint-Jean-Baptiste de Charroux d'Allier, classée monument historique, avec son fossé de défense médiéval, transformé en square de banlieue et enseveli sous une chape en ciment-béton en 2012.

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications La vue du même endroit vers la Porte d'Occident... La vue du même endroit vers la Porte d'Occident...

Survolez la photo à l'aide de votre souris pour faire apparaitre les indications ...et vers la Tour du Guichet ...et vers la Tour du Guichet qu'on aperçoit au-dessus de la toiture du presbytère (le bâtiment blanc) : là où se termine le square en béton, coulé en 2012, se voit à nouveau le fossé de défense...

Des questions s'imposent : pourquoi les services de protection des monuments historiques (et même) classés ne veillent-ils pas à la sauvegarde d'un patrimoine aussi unique que celui de Charroux d'Allier, ancien castrum gallo-romain, devenu ville franche en 1245 ? pourquoi ne conseillent-ils pas correctement et selon les lois dans tous les sens les maires et autres conseillers municipaux ou responsables locaux quant à la sauvegarde de leur patrimoine ? Pourquoi permettent-ils qu'on défigure, voire détruise – en gaspillant pour ce faire des sommes de subventions (européennes et françaises) fabuleuses – un capital aussi précieux à tous les niveaux : historique, archéologique, culturel et économique ?

C'est pour ce patrimoine que Charroux fait partie de l'Association des plus beaux villages de France et c'est pour le voir que les touristes viennent (encore) de loin et en masse. Charroux en tous les cas n'a aucun autre avenir que celui de son patrimoine et partant de sa conservation et présentation selon les règles. Une fois ce patrimoine disparu ou devenu la risée du monde touristique par sa défiguration, Charroux se retrouvera devant le néant que ni les buissons, plantés dans le pavage médiéval arraché pour ce faire et taillés en cubes, ni les pots et bacs à fleurs suspendus sur tous les bâtiments ne pourront plus cacher. S'il n'est pas déjà trop tard, ce le sera sous peu comme le prouve le square en béton qu'on vient d'installer, en 2012, dans le fossé de défense médiéval au pied de l'église fortifiée Saint-Jean-Baptiste, classée monument historique.

Des Bourbonnais à Paris

C'est pas beau du tout !!
Oh Waterzoiii, morne plat!



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Castrum
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Retour à l'accueil Schéma du square
Square de banlieue en béton de Charroux
Square de banlieue en béton
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forme du castrum

Forme rectangulaire du castrum de Charroux
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Porte d'Orient de Charroux
La Porte d'Orient

Presbytère
Porte d'Occident de Charroux
La Porte d'Occident


Citadelle / Cour des dames de Charroux
La citadelle dite la Cour des Dames
vue de l'ouest

Tour de guet de Charroux
La Tour du Guet
Tour de la défense circulaire
également appelée Tour de la Prison

L'Eglise fortifiée Saint-Jean-Baptiste de Charroux
L'Eglise Saint-Jean-Baptiste
avant le bétonnage du fossé de défense

Halle de Charroux
Halle du marché
Sur la photo ci-dessus, le Guichet, la halle de 1821, au fond la Mairie

Charroux : Salle des fêtes
Salle des fêtes construite en 2003
Les bennes à ordure et les bouteilles de gaz
dans le fossé de défense médiéval de Charroux

Bennes à ordure de la salle des fêtes de Charroux
Bouteilles à gaz et bennes à ordures

Charroux : La Maison de Condé
La Maison de Condé
Maison de résidence du lieutenant du seigneur du Bourbonnais
A droite, la Porte d'Orient

Musée de Charroux
Bâtiments de la fortification :
Musée d'histoire de la Ville
Sur la photo ci-dessus, l'entrée du musée

Musée de Charroux
Fortification :
Premier bâtiment du Musée d'histoire de la Ville
Sur la photo ci-dessus, l'entrée du musée
Non, ce n'est pas un caddie volant mais bien le bas d'un lampadaire... Restes de la muraille médiévale